Cet article de LA CROIX évoque le projet de loi Santé porté par A BUZYN.
Workinpharma a choisi de focaliser son regard sur la réforme des études de santé.
Ainsi, le projet de loi prévoit-il d’abandonner le numérus clausus dès la rentrée de 2020 mais également la fin des épreuves classantes. Désormais, il est prévu que ce soient les universités qui fixeraient le nombre d’admis des deuxième et troisième année (avec avis des ARS).
En outre, donc, l’accès au troisième cycle (internat) et l’affectation par spécialités ne passeraient plus par des épreuves classantes nationales avec pour argument que ce système oblige les étudiants à préparer ces épreuves au détriment de leur projet professionnel.
Workinpharma pointe du doigt ces évolutions majeures et reconnait à ce projet de loi la faculté de permettre aux étudiants de déterminer réellement leurs ambitions professionnelles non plus en fonction d’un classement mais d’un vrai projet professionnel.
A noter quand meme que le concours permettait une sorte d’égalité et, d’anonymat qui, de fait, disparaitra. Le projet de loi sera débattu au printemps…
Affaire à suivre…
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