Cet article du Figaro Santé évoque le risque notoire que constituent les publications « santé » émanant de sources éparses et trop souvent de parti pris.
Evidemment, on pourrait affirmer à l’unisson qu’il est essentiel que le patient exerce son esprit critique afin de ne pas prendre pour argent comptant les informations qui lui sont délivrées. Pour autant, quand il s’agit de santé, le patient a plutôt tendance à trouver la publication qui correspondra soit à son ressenti, soit à l’idée subjective qu’il a déjà.
L’exemple de la vaccination illustre parfaitement cet état de fait : « les anti » ont envahis les publications et les réseaux sociaux, relayant parfois des informations erronées voir mensongères .
Mais Workinpharma pense que la notion de vérité scientifique est à manier avec une prudence avérée car, quand des médecins eux-mêmes se divisent sur des pratiques communément admises depuis de longues années, que doit penser le patient ?
Workinpharma pense que c’est le pharmacien qui est le mieux placé pour démêler le vrai du faux et que comme professionnel de santé, il a la légitimité à orienter au mieux, et pour le bien de son patient, vers une information santé pertinente. Régulièrement confronté à des patients informés (ou tout du moins le pensent-ils), le pharmacien doit convaincre du bien fondé de tel ou tel traitement. C’est un travail de longue haleine, mais c’est à ce prix que le pharmacien conservera sa crédibilité dans les conseils qu’il prodigue chaque jour au comptoir.
Lisez également l’article du Figaro : http://sante.lefigaro.fr/article/les-fake-news-peuvent-elles-menacer-votre-sante-/
Cet article du Figaro Santé évoque le risque notoire que constituent les publications « santé » émanant de sources éparses et trop souvent de parti pris.
Evidemment, on pourrait affirmer à l’unisson qu’il est essentiel que le patient exerce son esprit critique afin de ne pas prendre pour argent comptant les informations qui lui sont délivrées. Pour autant, quand il s’agit de santé, le patient a plutôt tendance à trouver la publication qui correspondra soit à son ressenti, soit à l’idée subjective qu’il a déjà.
L’exemple de la vaccination illustre parfaitement cet état de fait : les anti ont envahis les publications et les réseaux sociaux, relayant parfois des informations erronées voir mensongères .
Mais Workinpharma pense que la notion de vérité scientifique est à manier avec une prudence avérée car, quand des médecins eux-mêmes se divisent sur des pratiques communément admises depuis de longues années, que doit penser le patient ?
Workinpharma pense que c’est le pharmacien qui est le mieux placé pour démêler le vrai du faux et que comme professionnel de santé, il a la légitimité à orienter au mieux, et pour le bien de son patient, vers une information santé pertinente. Régulièrement confronté à des patients informés (ou tout du moins le pensent-ils), le pharmacien doit convaincre du bien fondé de tel ou tel traitement. C’est un travail de longue haleine, mais c’est à ce prix que le pharmacien conservera sa crédibilité dans les conseils qu’il prodigue chaque jour au comptoir.
Lisez également l’article du Figaro : http://sante.lefigaro.fr/article/les-fake-news-peuvent-elles-menacer-votre-sante-/
